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Sur la page Aristide Briand :

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Sa politique de rapprochement et de réconciliation avec l'Allemagne lui est reprochée. Jean Piot l'accuse d'oublier le « péril germanique », qu'il dénonce[6]. Cependant, l'opinion française, majoritairement pacifique,l'approuve[réf. nécessaire] et pense que cette politique de paix a des chances de réussir.[non neutre] Briand semble néanmoins avoir été réaliste sur les perspectives de paix : « La paix, j’y travaille. Mais je n’en suis pas le maître. S’il y a la guerre, il faut être prêt[7] ». En conséquence de cause, il a, lors de ses 5 années au quai d’Orsay, pris ses précautions : « Voilà pourquoi, depuis tantôt six ans, j’ai, mois par mois, économisé sur les fonds spéciaux, un petit trésor d’une vingtaine de millions […] On en aura besoin[8]. »