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Sur la page Aharon Appelfeld :

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Sa rencontre avec Samuel Joseph Agnon le convainc que « le passé, même le plus dur, n’est pas une tare ou une honte mais une mine de vie ». À la fin des années 1950, il choisit l'écriture et la littérature et se met à écrire en hébreu, sa « langue maternelle adoptive »[1]. Il enseigne la littérature à l'université Ben Gourion du Néguev de 1979 jusqu'à sa retraite[2]. Homme de gauche, de tout temps ancré dans le Parti travailliste, il voit s'élargir les failles dans la société israélienne et observe avec amertume l'impasse d'un certain sionisme et le rejet du monde arabe qui veut supprimer son pays[réf. souhaitée].