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Sur la page Juan Carlos Ier :

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Lors de sa prestation de serment devant les Cortes Generales (le Parlement), un dirigeant communiste, Santiago Carrillo, lui avait donné le sobriquet « Juan Carlos el Breve » (Juan Carlos le Bref)[2], prédisant qu'il se trouverait rapidement écarté avec les autres restes du fascisme. Après l'échec du coup d'État du , ce même homme politique, ému, dira aux médias : « Dieu protège le Roi ! »[3]. Si les démocrates et les partis de gauche s'étaient jusque-là montrés réservés, après l'échec du coup d'État, leur soutien deviendra plus affirmé, un ancien chef de la IIe République déclarera :« Nous sommes tous des monarchistes maintenant »[réf. souhaitée]. Néanmoins, une expression courante dit que les Espagnols ne sont pas des monarchistes, mais des « juancarlistes ».