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Sur la page Jean Zay :

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Durant sa captivité, Jean Zay, qui a pour compagnon de cellule le rabbin Édouard Gourévitch, peut continuer à recevoir régulièrement sa femme, Madeleine Dreux Zay, ainsi que ses deux filles, l'aînée, Catherine Martin-Zay, et la cadette, Hélène Mouchard-Zay, née en 1940 après l'arrestation de son père. On lui permet d'écrire et de communiquer avec ses amis. Il ne cherche pas à s'évader comme la force de la résistance intérieure française dans la régionl'aurait sans doute permis[réf. nécessaire]. Il continue à travailler, préparant les réformes qu'il pense pouvoir mettre en œuvre après la Libération.